Lors d’une réunion le 30 janvier 2008, le Directeur Général des Services de la Ville avait certifié à l’association CIARTéME que la demande de travaux n’était pas instruite.
A-t-elle été accordée ? Il n’y a pas eu d’affichage sur la voie publique. N’a-t-elle à l’inverse pas été accordée, puisqu’à ce jour le service de l’urbanisme nous affirme ne pas avoir reçu de dossier ?
Cela démontre la considération que l’opérateur porte aux municipalités.
Les opérateurs se vantent de leur mémento commun avec l’Association des Maires de France, dans lequel ils reconnaissent pourtant que « Des recherches scientifiques sont néanmoins menées à travers le monde pour (.) confirmer ou non l’innocuité des antennes-relais. » (disponible sur le site de l’Association Française des Opérateurs Mobiles )
Notre Constitution ne nous reconnaît-elle pas le droit à un environnement respectueux de la santé ?
Les riverains de la place Piquand ont à leur tour droit au statut de cobayes désinformés. Quant aux promesses de concertation, on vient de les voir briller par leur non application à un cas réel.
Si une commission de suivi avait été mise en place, comme nous le demandons depuis notre création, en 2002, et comme les candidats aux municipales s’y sont engagés, on n’aurait peut-être pas assisté à cette installation en catimini. Celle-ci démontre en tout cas que les belles paroles d’Orange n’engagent que ceux qui veulent y croire (« Il est important que le déploiement de réseaux de téléphonie mobile se fasse dans la Transparence » dans le mémento déjà cité) . Des mesures plus contraignantes sont nécessaires pour que les opérateurs de téléphonie mobile cessent de se comporter à Montluçon comme en pays conquis.
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