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Mobilisation contre l’installation d’antennes rue Censier dimanche 6 avril
par CollectifPriartem - Thème : Les antennes contestées
Dimanche 6 avril, de 8h à 16h, les associations des locataires du 19 rue Censier ainsi que du 25 rue G. St. Hilaire vous invitent à venir nombreux sur le trottoir devant la crèche du 11 rue Censier où une opération de grutage est prévue par Free Telecom.

Dimanche 6 Avril dès 8h : Mobilisation citoyenne contre l’installation de 3 antennes relais 4G à 30 m de la crèche CENSIER

Dimanche 6 avril, de 8h à 16h, les associations des locataires du 19 rue Censier ainsi que du 25 rue G. St. Hilaire vous invitent à venir nombreux sur le trottoir devant la crèche du 11 rue Censier où une opération de grutage est prévue par Free Telecom.

La Mairie de Paris a décidé de se ranger du côté des opérateurs en reniant ses engagements et en acceptant d’exposer des enfants jusqu’à 7 V/m via l’installation de 3 antennes 4G à 30m d’une crèche…

Des solutions existent pourtant pour concilier le développement des technologies mobiles avec la santé publique : Les travaux du COPIC menés lors du grenelle des ondes en 2009 ont montré qu’il était possible d’abaisser l’exposition du public à 0,6 V/m à Paris à condition de multiplier le nombre d’antennes-relais par trois.

Les opérateurs qui refusent de rogner sur leurs énormes bénéfices ont imposé un nouveau seuil de 7 V/m dans la nouvelle Charte parisienne de la téléphonie mobile. Ce seuil, qui ne protège en rien la population des risques sanitaires, permet aux opérateurs de conserver leur réseau d’antennes en l’état…

Tout comme l’amiante avant 1997 en France, les lobbies industriels de la téléphonie mobile font régulièrement des études rassurantes, généralement financées par l’industrie elle-même. Des pressions sont exercées sur certains chercheurs qui trouvent des résultats qui ne vont pas dans le sens espéré par l’industrie quand d’autres agences ou fondations, inféodés à l’industrie, défendent la thèse de l’innocuité sanitaire.

Malgré tous leurs efforts, la stratégie des opérateurs se fissure progressivement :

- En 2013, L’Afsset (ancien ANSES), Agence Française de Sécurité Sanitaire et du Travail, recommande, notamment pour les enfants, de baisser les puissances des antennes-relais sur la base d’études incontestables sur la santé humaine
- En 2011, l’OMS a classé les ondes électromagnétiques type GSM et Wi-fi comme « possiblement cancérigène » (groupe « 2B »)
- En 2011, Le conseil de l’Europe recommande la baisse des seuils à 0,6V/m puis 0,2V/m (résolution 1815)
- Depuis 2003, la plupart des réassureurs ont exclu les risques liés aux champs électromagnétiques et autres radiations émises par les téléphones portables et les antennes-relais de leurs garanties.

Mots-clés associés à cet article : Ecole :: Manifestation :: Mobilisation
 
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