l’utilisation des câbles en fibre optique existants dans les sous-sols de la ville pour faire circuler les informations d’une antenne à une autre antenne ;
le remplacement des mâts et antennes qui hérissent les toits de la ville par de petites antennes qui émettent beaucoup plus faiblement qui seraient placées principalement sur les réverbères ;
la création d’un seul et unique réseau pour les trois opérateurs.
Cette expérience nous semble aller dans le bon sens puisque l’utilisation des câbles optiques existants se traduira par une circulation hertzienne moins intense. C’est pourquoi nous nous adressons à la Mairie de Paris ainsi qu’à l’association des Maires des grandes villes de France afin que des mises en œuvre, en réel, de ces orientations nous permettent de connaître les gains en bien être que nous pouvons espérer de ce type de configuration technique.
Nous ne considérons évidemment pas qu’il s’agit là d’une réponse à toutes nos questions et revendications. Si l’on s’oriente vers toujours plus de sans fil, sans définition de normes réglementaires protectrices, quelles que soient les orientations techniques retenues, nous risquons d’aller vers des CEM de plus en plus élevés. La promulgation d’une loi qui prenne bien en compte l’ensemble des connaissances actuelles et respecte le principe de précaution est plus que jamais une nécessité. Nous continuerons à œuvrer en ce sens tant que nous n’aurons pas obtenu satisfaction.
La demande raisonnable formulée par Priartem et Agir pour l’Environnement auprès de la mairie de Paris n’a pas été entendue... Depuis nous avons appris que l’expérience de Milan a été abandonnée en raison d’ une opposition des opérateurs
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