La controverse scientifique sur les effets des rayonnements de la téléphonie mobile sur la santé, n’est pas spécifique à la France. Une nouvelle controverse vient de démarrer en Allemagne. Elle oppose, notamment le Docteur Mutter , médecin de l’environnement à Constance après avoir été pendant près de dix ans médecin à la clinique universitaire de Fribourg au Professeur Lerch, Président de la Commission de Protection contre les Rayonnements, commission des rayonnements non-ionisants.
Nous rendons compte aujourd’hui de la première étape de cette nouvelle controverse : la communication du Docteur Mutter, lors de la semaine médicale de Baden Baden, le 31 octobre 2009
7 janvier 2010 - par Priartem
Pour la première fois, un tribunal professionnel (l’équivalent de nos Prud’Hommes) italien reconnaît l’origine professionnelle de la pathologie – une tumeur bénigne du nerf trijumeau - d’un homme de 57 ans, qui a, dans le cadre de son activité professionnelle, utilisé, durant 10 ans, intensivement un téléphone portable et un téléphone sans fil.
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Introduit par une pétition signée par 43 scientifiques de 14 pays – parmi lesquels Daniel Oberhausen, physicien, délégué scientifique de Priartem - un nouveau rapport vient d’être publié sur les 15 raisons de s’inquiéter des effets du téléphone sur l’accroissement des risques de tumeurs du cerveau.
25 octobre 2008 - par Priartem
L’exposition de rats aux signaux GSM permet de constater une perméabilisation de la BHE et des atteintes sur les cellules nerveuses au terme d’une période de récupération de 14 ou 28 jours.
Electromagn Biol Med. 2008 ;27 (3):215-29 18821198 (P,S,G,E,B)
Jacob L Eberhardt, Bertil R R Persson, Arne E Brun, Leif G Salford, Lars O G MalmgrenLaboratoire de biophysique, service de radiothérapie du CHU de Lund (Suède)
3 mars 2008 - par Priartem
Les champs électromagnétiques ont sur nos organismes des effets multiples lesquels peuvent être associés également à d’autres causes. Cette spécificité qu’ils partagent avec d’autres pollutions environnementales (les rayonnements ionisants, les pesticides…) ne favorise pas leur reconnaissance et alimente la thèse du déni de risque portée par des scientifiques-mercenaires aux ordres des opérateurs. La progression des connaissances scientifiques au cours des dernières années rend de plus en plus difficile la défense de cette thèse. Les risques se confirment à travers les enquêtes épidémiologiques, la compréhension des mécanismes biologiques en œuvre se précise.
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